Lourdeurs administratives, baisse de la consommation de vin, changement climatique, multiplication des contrôles, surréglementation croissante : les viticulteurs sont abandonnés et les crises s'accumulent. Comme si cela ne suffisait pas, Santé publique France a lancé en janvier sa campagne pour un mois sans alcool. Dans les communications gouvernementales, plusieurs scènes, dont une avec des Français avec leur verre de vin, transmettent un message simple et terrible pour nos viticulteurs : un verre de vin consommé, c'est déjà un verre de trop. Les professionnels ont fait part de leur sidération et ne comprennent pas pourquoi on les fustige alors qu'ils sont en pleine crise.
Que faites-vous pour protéger le monde du vin de ces campagnes de communication destructrices ? Pouvez-vous nous garantir que cette communication sera la dernière ?