Il s'agit d'amendements d'appel, au travers desquels je souhaite poser deux questions. La première est celle du taux : faut-il le maintenir à 3,5 % ? Est-ce un bon taux au regard des prévisions ? Nous en avions discuté l'été dernier lors de l'examen de la loi relative au pouvoir d'achat – M. le président de la commission des affaires économiques s'en souvient sans doute aussi. Nous étions notamment convenu d'instaurer le dispositif pour un an même si nous imaginions qu'après six mois, les prix allaient redescendre assez rapidement. Malheureusement pour les Français, cela n'a pas été le cas. Nous nous attendons toujours à une baisse, qui devrait intervenir d'ici quelques mois selon le rapporteur – quant à moi, je l'espère.