Cette proposition de loi est aussi une occasion manquée pour toutes les femmes qui ont subi une fausse couche et qui ont vécu un curetage, des échographies à répétition, souvent des hémorragies et des douleurs pelviennes. Puis surviennent parfois – souvent même –, la dépression, le stress post-traumatique et le deuil périnatal, pour les femmes comme pour les partenaires.
Que d'occasions manquées, chers collègues ! Supprimer le jour de carence pour les femmes ayant subi une fausse couche est une bonne mesure, mais pourquoi refuser un congé spécial rémunéré à 100 % pour les deux partenaires ,