Nous avons voulu instaurer une obligation de progression pour les trois fonctions publiques. Elle concerne les administrations qui partent de plus loin, notamment certains ministères. Une administration trop éloignée de ces objectifs pourrait être tentée de ne pas s'engager dans une démarche dont elle ne verrait pas l'intérêt. Nous avons donc fixé un taux de progression de 3 points tous les trois ans jusqu'à ce que les objectifs de 50 % de femmes pour les primo-nominations et de 40 % de femmes dans les viviers soient remplis. C'est un dispositif opérationnel, qui permet d'atteindre notre but, et c'est cela qui intéresse nos agents publics.