Cela dit, j'abonderai dans le sens de M. le rapporteur : il existe un problème de pénurie, de gestion du manque. Nous devons donc adopter une politique de l'offre, ce qui conduit à poser la question suivante : comment faire, soit pour qu'il y ait davantage de médecins, soit pour maximiser l'efficacité de ceux qui exercent déjà ? Je le dis d'autant plus librement que je m'adresse à des collègues de la majorité, pour qui j'ai beaucoup de respect :…