Il s'agit d'un amendement très simple, visant à rétablir, pour chaque spécialité médicale, un indicateur territorial de l'offre de soins, dont la densité serait pondérée par des paramètres démographiques, médicaux, économiques et sociaux. Cette connaissance précise de la réalité du terrain aiderait à lutter efficacement contre les déserts médicaux.