Dois-je vous rappeler que les projets routiers sont le deuxième facteur d'artificialisation des sols et qu'ils ont un impact colossal, en entraînant la destruction de terres agricoles, de zones humides et de forêts qui régulent le climat ?
Le Bas-Chablais n'est pas, comme vous le prétendez, une zone enclavée qui doit se développer. C'est, à la périphérie de Genève, un territoire dont l'artificialisation a progressé de 2,85 % en cinq ans, soit à un rythme dix fois plus élevé que le rythme national moyen.