Il porte sur les compétences du directeur général de l'ARS et vise à améliorer l'accès aux soins de deuxième recours – je pense à la cardiologie ou encore à la pédiatrie. Dans mon département de l'Oise, par exemple, la situation n'est pas enviable, 45 % des parents rencontrant des difficultés d'accès à un pédiatre.