Elle aurait pu se focaliser sur le rejet de la méthode dite du découpage, grâce à laquelle la Commission européenne entend contourner le vote des parlements nationaux. Elle aurait ainsi servi de point d'appui pour exiger que la représentation nationale décide, en dernier ressort, de l'adoption ou non de cet accord.
Mais, une fois passé un exposé des motifs trompeur, comme l'a souligné très honnêtement notre collègue Pascal Lecamp, il apparaît que l'objectif principal de cette résolution est de nous faire accepter le principe même de l'accord entre l'Union européenne et le Mercosur…