Et dans le second : « Avec la répartition, c'est sur les ressources annuelles de l'État que tout repose : et les retraites peuvent être exposées à toutes les vicissitudes […]. Le péril est bien moindre, l'équilibre est bien plus assuré s'il y a un lest de capitaux, si la Caisse des retraites, possédant des valeurs à la fois solides et variées, […] repose non pas sur la base étroite d'un budget, mais sur toute la fortune publique. »
Ces mots ne sont ni de Milton Friedman, ni de l'école de Chicago, ni de Margaret Thatcher ; ils sont de Jean Jaurès.