La séparation des pouvoirs n'est même plus feinte : des ministres s'arrogent tranquillement le droit de décider ce que l'Assemblée nationale peut ou non voter. D'autres font pression sur des parlementaires pour leur faire changer leur vote, jusqu'à avoir l'indécence de mettre en jeu l'existence d'une maternité.
Sommes-nous encore en démocratie…