En Macronie, ceux qui manifestent sont arrêtés arbitrairement et réprimés, malgré les rappels à l'ordre du rapporteur spécial sur les libertés de l'ONU, du Conseil de l'Europe, de la Commission nationale consultative des droits de l'homme, de la Ligue des droits de l'homme, de la Défenseure des droits ou encore d'Amnesty International.