Chacun, qu'il se soit trouvé dans l'hémicycle ou en dehors, a été témoin en février de votre volonté de faire obstruction aux débats portant sur la réforme des retraites. Ceux qui ont suivi, il y a deux semaines, l'examen en commission de la proposition de loi de notre collègue Charles de Courson ont pu constater votre attitude outrancière et vos manœuvres désespérées : déni de vote sur le rejet de l'abrogation de la réforme, dépôt à la va-vite de centaines de sous-amendements, retrait d'une partie du texte par le rapporteur lui-même.