Qui d'entre nous peut accepter la duplicité gouvernementale qui consiste d'un côté à déclarer – je vous cite, madame la Première ministre – que « comme il se doit, la démocratie parlementaire aura le dernier mot » et, de l'autre, à entraver le vote d'une proposition de loi qui nous aurait permis de donner directement un avis sur la réforme des retraites ?