Je n'ai jamais dit qu'il ne fallait pas augmenter le nombre d'étudiants. Nous nous sommes précisément battus, en 2019, pour mettre un terme au numerus clausus. Nous avons, de surcroît, travaillé dans le sens de la décentralisation puisque c'est désormais aux régions, et non plus à l'État, de définir le nombre d'étudiants de deuxième année. Nous pouvons tous convenir, en revanche, que nous ne disposons pas d'un nombre suffisant d'étudiants compte tenu d'une population vieillissante.
S'agissant des parcours d'accès spécifique santé/licence accès santé, je vous rappelle que les universités sont autonomes. Nous devons évaluer la réforme Ma santé 2022 afin de pouvoir améliorer leur situation.