Je remplace en effet au pied levé Mme Laporte. N'ayant pas les brillantes capacités de notre collègue qui peut lire une page en moins d'une seconde, je laisserai mes camarades parler de ce rapport, ce qu'ils feront bien mieux que moi.
En constatant dans le sommaire qu'il est consacré moins de six pages à la Chine, je me souviens de ce mot prononcé devant la commission de la défense, dont je suis membre, par le chef des armées allemandes : la Russie est l'orage, la Chine est la tempête. Il est un peu surprenant que cette tempête occupe six pages sur deux cents.