Par respect pour vous, je retiendrai la première option. Vous osez citer le prix Nobel d'économie Joseph Stiglitz, qui dit absolument le contraire de ce que vous racontez. Lorsque vous évoquez le risque d'un manque de liquidités, on croit rêver ! Tous les économistes un peu sérieux disent qu'il y a bien trop de liquidités financières et spéculatives.