Il convient également de rappeler, bien que cela paraisse évident, que l'AME répond à un véritable impératif de santé publique : ne pas laisser des maladies se propager relève du bon sens – mais j'ai bien peur, au vu de votre proposition et de l'insistance dont vous faites preuve pour remettre en cause l'AME, que vous en soyez dénués.
Vous semblez aussi dénués d'humanité : le seul fait d'émettre l'idée de refuser des soins à une personne, migrante ou non, est une aberration. Je le dis avec d'autant plus de force que je suis soignante de profession.