Merci à tous et à toutes pour ces débats très intéressants, répartis dans un peu plus de vingt séances de commission – j'ai eu l'honneur et le plaisir de participer à l'une d'entre elles. Ils ont permis de conduire une procédure votée par cette assemblée il y a maintenant cinq ans s'agissant de la commission des finances et un peu moins pour ce qui est de la commission des affaires sociales.
Je profite de cette intervention du Gouvernement pour remercier chaleureusement celles et ceux qui vous ont précédés sur ces bancs, à qui l'on doit ces procédures qui font honneur à l'Assemblée nationale. Elles rapprochent le Parlement français de grands parlements internationaux qui contrôlent l'action de leurs gouvernements, évaluent les politiques publiques et en tirent des conséquences pour l'avenir. Je pense en particulier à Amélie de Montchalin, à Joël Giraud, à Éric Woerth – qui vous a précédé sur ce banc, monsieur Coquerel, en tant que président de la commission des finances –, à Thomas Mesnier, à Brigitte Bourguignon, à Fadila Khattabi, à Stéphanie Rist et à Olivier Véran, le prédécesseur de cette dernière comme rapporteur général du budget de la sécurité sociale. Grâce à elles et grâce à eux, nous disposons désormais d'une procédure intéressante.