À ce stade de mon intervention, une question se pose : pourquoi une telle situation ? Comment en est-on arrivé là ? C'est qu'une bonne partie de celles et ceux qui siègent ici n'apprécient pas la sécurité sociale ; ils n'apprécient pas ce qu'elle représente, son esprit et ses ambitions originelles, à savoir que nous ayons des droits ne dépendant pas du bon vouloir et des votes de certains dans cet hémicycle, mais uniquement du travail accompli par toutes et par tous !