Je fais bien sûr référence à l'interdiction qui pèse sur nous d'examiner la proposition de loi visant à abroger la réforme des retraites, qui porte pourtant sur un sujet politique majeur. Elle prouve malheureusement que la présidence de l'Assemblée nationale est devenue une annexe de l'Élysée et que le pouvoir législatif, par la voix de la présidente du Palais-Bourbon, a capitulé en rase campagne.