Vous avez atteint un tel niveau de mépris de classe, d'humiliation de classe ! Vous incarnez avec tant d'assurance la puissance des grands ! Savez-vous ce qu'on dit de vous, chez moi ? Qu'on n'en peut plus de vous, qu'on ne vous supporte plus. Vous mesurez mal à quel point cette arrogance, superbement incarnée par M. Maillard, abîme la démocratie et fait le lit des ennemis de la République. Quoi qu'il arrive aujourd'hui, quelque combine que vous ayez négociée dans la nuit, vous porterez cette tache indélébile et notre responsabilité sera, le 8 juin ou plus tard, de revenir sur cette réforme qui fait mal aux vies.