Nous sommes passés d'une situation où les taxis en service, à Paris en particulier, rendaient un service médiocre – quand est apparu un service disruptif, plus rapide, plus simple, et qui coûtait à peine moins cher –, à un système où les chauffeurs de VTC ne gagnent plus assez bien leur vie. Au début de cette aventure, dans de nombreux quartiers populaires, les seuls qui arrivaient à gagner suffisamment d'argent étaient soit chauffeurs Uber, soit dealers. Pour ma part, le choix était clair. Aujourd'hui, cette réalité n'est plus objective. Nous avons sans doute besoin de trouver une nouvelle régulation. En attendant, depuis, les taxis ont fait l'effort qui était attendu de leur part et ont retrouvé leur qualité de service.