Comme je vous l'ai indiqué, je me plierais assez facilement à cette logique si j'étais parlementaire aujourd'hui. À cette époque, chacun connaissait les sujets sur lesquels je travaillais et mes positions sur les enjeux de l'innovation et les acteurs du numérique.
Les débats sur le projet de loi sur la croissance et l'activité avaient eu lieu en toute transparence. Ils étaient d'ailleurs d'une très grande qualité, tant en commission qu'en séance.
Ma proximité avec les acteurs numériques et ma position en faveur d'une régulation plutôt que d'une interdiction étaient de notoriété publique.
Je pense que cette transparence est souhaitable. La commission des lois a d'ailleurs voté la « loi Sapin 2 », qui a formé une première étape essentielle sur les enjeux de transparence. Il faut par ailleurs noter que les associations comme les entreprises ou les syndicats défendent tous leurs intérêts, leurs doctrines ou leurs valeurs.