Nous avons pris un premier arrêté, qui était trop limitatif, puisqu'il ne concernait qu'une seule application. Nous avons souhaité cibler un champ territorial plus vaste et embrasser l'ensemble des opérateurs qui ne respectaient pas la réglementation. Le deuxième arrêté était plus restrictif.
La vérité est donc à l'inverse de ce qu'affirment les Uber files. Je n'ai pas assoupli le premier arrêté et, sur le terrain, nous avons intensifié les contrôles – auxquels je participais en personne. Je l'avais déjà précisé aux journalistes, qui n'en ont pas tenu compte – alors que la simple lecture des arrêtés suffit à le démontrer.
Sur le plan juridique, j'entends votre incompréhension. Ces arrêtés relevaient d'une volonté d'affichage : nous affirmions que nous ne laisserions passer aucune dérive dans l'utilisation de certaines applications.