Il ne m'appartient pas de me prononcer sur le message envoyé par Mark MacGann au ministre de l'Économie. Je n'ai subi aucune pression et n'ai eu aucun contact. Nous avons pris une décision, au contraire, encore plus restrictive que la première.
S'agissant de l'application actuelle de la réglementation, il est évident que des abus persistent dans le monde de transport de personnes en véhicule notamment particulier. Cependant, le problème majeur auquel nous sommes confrontés est l'exercice illégal de plusieurs activités, qu'il s'agisse de VTC ou de taxis et mototaxis clandestins, notamment aux abords des aéroports.
En 2015, Uber commençait à peine à exercer son activité. Depuis cette date, la situation s'est rationalisée.