Madame la rapporteure, entendez-moi bien : ce que ce que je dis, c'est que j'entends dire pour la première fois que seul le prêt aurait été concerné.
L'aurais-je entendu auparavant que cela n'aurait rien changé : comme je vous l'ai rappelé à de multiples reprises, je ne pouvais en aucune manière m'opposer à ces procédures ni intervenir dans leur mise en œuvre. Nous étions totalement passifs. Nous devons de l'argent ; si la justice nous dit « C'est à Untel que vous devez cet argent » ou « Maintenant ce n'est plus à Untel mais à un autre », nous le versons à la personne désignée, non sans nous en être ouverts à la CNCCFP.
Qu'une société rachète le prêt sans que nous ayons notre mot à dire nous a immédiatement alertés. Nous connaissons les règles du financement des partis politiques. Nous nous sommes donc assurés, en lien avec la CNCCFP, de la validité de la reprise des remboursements par une société plutôt que par un compte de séquestre, un notaire ou la Banque centrale de Russie. À aucun moment nous ne sommes intervenus dans la succession des faillites et des rachats, ne serait-ce que parce que nous n'en avions pas la possibilité.