Je l'ai sollicitée, mais il a mis quelques années à répondre ! J'ai d'ailleurs sollicité une rencontre avec de nombreux chefs d'État, comme le savent les journalistes qui me suivent. J'ai eu plus ou moins de succès, et obtenu des réponses plus ou moins rapidement.
Rencontrer le président des États-Unis, le président indien, le président russe ou le président chinois fait partie, à mes yeux, de ce qui peut, sinon doit être fait par un candidat à la présidentielle. Cela me paraît légitime. C'est pourquoi j'ai rencontré Idriss Deby et, dans la foulée, puisque le feu vert avait été donné, Vladimir Poutine.