Non, parce que depuis un certain nombre d'années, lorsque je me déplace à l'étranger, c'est souvent pour rencontrer soit des chefs d'État, soit des Premiers ministres. Par conséquent, la visite est généralement réglée par les services protocolaires du pays où je me rends : cela a été le cas en Égypte, en Hongrie, au Tchad.
Lorsque je ne suis pas invitée par une instance exécutive – par exemple lorsque j'ai été invitée par le président de la Douma –, ce sont mes équipes qui gèrent la logistique de mes déplacements. Il est arrivé assez souvent que soient mis à notre disposition les moyens de l'assemblée qui nous accueillait.