Je n'étais pas présente pour m'en assurer. Je note qu'aucun réfugié n'est arrivé de Crimée et que les gens ne l'ont pas quittée après le référendum. Je note aussi qu'il était parfaitement loisible aux instances internationales d'organiser, notamment sous le contrôle de l'ONU, un nouveau référendum pour vérifier que les gens avaient librement voté. Selon les informations dont je disposais, ce référendum me semblait exprimer la volonté des habitants de la Crimée.