Le dossier Henkel concerne un fonds de commerce que nous avions racheté à un autre grossiste qui contenait la carte Henkel. Nous avions demandé une modification des contrats à l'industriel, ce qu'il n'avait pas accepté de faire. Dans ce dossier, l'industriel a donc été concerné, ainsi que les représentants de plusieurs territoires. Il s'agit d'une procédure de transaction ; nous avons estimé qu'un risque juridique pourrait apparaître, mais nous n'estimions pas avoir enfreint la loi. Nous avons de fait transigé sur ce dossier Henkel, et c'est la seule fois où nous avons été concernés par un dossier de cette sorte lié à la loi Lurel.
Concernant le dossier NKT, l'Autorité de la concurrence nous a demandé de prendre un certain nombre d'engagements. Le premier était de ne pas exploiter une enseigne comprenant le nom « Carrefour ». Le magasin porte aujourd'hui l'enseigne Supeco qui fait partie du groupe Carrefour, mais ne contient pas le nom « Carrefour ». Nous avons vendu la partie grossiste de NG Kon Tia au groupe Sainte-Claire en Guyane qui en a l'exploitation depuis la date de la cession.