Il existe malgré tout une particularité française : celle que la diplomatie ne possède pas la pleine maîtrise des actions de développement. Si cette culture du développement est ressentie comme défaillante, le système ne peut, structurellement, qu'accentuer ce phénomène, puisque l'AFD contrôle la plupart des fonctions nécessaires. N'existe-t-il pas, quand même, une certaine incohérence entre ces deux réalités ?