Nous ne partageons pas la même vision de l'information ni du contrôle parlementaire. S'il est vrai que nous disposons d'un certain nombre d'informations par le biais des rapports et des missions parlementaires, c'est a posteriori et, alors qu'une année s'est écoulée depuis le début de la guerre, il est nécessaire que chacun, ici, ainsi que nos concitoyens puissent comprendre à la fois les enjeux, la façon dont nous intervenons ainsi que les grandes masses qui composent notre soutien à l'Ukraine, en matière non seulement militaire, mais aussi humanitaire et économique. Il est très important que nous validions l'aide apportée et qu'elle fasse l'objet non seulement d'une communication régulière mais aussi d'un avis de la représentation nationale.