Je voudrais rassurer notre collègue : la préoccupation qu'elle exprime est très légitime. C'est un souci constant de la commission des affaires étrangères que de veiller au maintien et au redimensionnement de notre outil diplomatique. Je crois que nous y veillons, et nous le faisons notamment chaque année, à travers l'examen du projet de loi de finances. De ce point de vue, l'inquiétude de notre collègue doit trouver des apaisements dans l'action de notre assemblée, en particulier de sa commission des affaires étrangères.