Je serai rapide, moi aussi, car le sujet a déjà été abordé. Il s'agit d'une demande de rapport sur la façon dont seront articulés les moyens militaires et les moyens diplomatiques au service de notre stratégie globale. On a déjà évoqué le fait que le Quai d'Orsay avait subi des attaques – formulons-le ainsi –, alors même que l'influence est une fonction stratégique réputée partagée entre le ministère des armées et la diplomatie. L'État doit marcher sur ses deux jambes à l'étranger. Nous avons besoin d'une vision claire.