Contre cette Union européenne de technocrates non élus et de petits hommes gris, nous préférons l'Europe des nations, une Europe vivace, aux langues multiples, aux cultures diverses et aux histoires plurielles.
Je le répète : travailler avec nos voisins et défendre l'Italie si elle est attaquée demain, c'est une évidence ! Nos traités et nos accords nous y invitent d'ailleurs. En revanche, fusionner nos armées avec les autres, jamais ! Au reste, c'est la France qui dispose de la dernière armée encore vaillante.