Le rapporteur a raison. J'irai même plus loin : un fonctionnaire du ministère des armées ou un militaire qui feraient n'importe quoi avec leur téléphone professionnel – si tant est, d'ailleurs, que ce soit possible, parce qu'ils sont rigoureusement bridés – seraient détectés par la direction interarmées des réseaux d'infrastructure et des systèmes d'information (Dirisi) et encourraient des sanctions disciplinaires. S'il est un ministère qui a été pionnier sur ces questions, c'est évidemment le ministère des armées. D'ailleurs, les téléphones sont à ce point sécurisés qu'il est parfois difficile d'entendre son interlocuteur !