Je comprends votre point de vue, monsieur le ministre. Mais l'amendement a trait non pas au budget des services de renseignement, même s'il s'agit d'une véritable question, mais à la nécessité d'axer la protection sur les PME et les ETI. Les grands groupes – vous avez évoqué Nexter – connaissent particulièrement bien le sujet. Mais les entreprises qui travaillent pour eux – et elles sont des centaines, voire des milliers, sur le territoire national – ne sont pas forcément sensibilisées à ces questions.