Merci, monsieur le ministre, pour ces explications : elles nous satisfont globalement.
Monsieur le rapporteur, dès lors que nous avons 13 milliards de crédits à ventiler, je crois que si l'on allouait 400 millions supplémentaires au renseignement, on arriverait à en faire quelque chose.
Nous allons maintenir les amendements, dans l'esprit. Tant que je n'aurai pas pu demander à M. Émié ce qu'il entend exactement par « tangenter les 5 milliards », je défendrai l'idée que cela signifie atteindre quasiment cette somme.