Je m'en remets à la sagesse de l'Assemblée, tout en appelant à la prudence concernant la rédaction des deux amendements. Objectivement, l'amendement n° 1749 de Mme Youssouffa aurait au moins le mérite de dire aux élus mahorais : l'État étant prêt à avancer, il faut que la collectivité et l'ensemble des partenaires du port avancent eux aussi. Voilà ce que je peux dire, en toute transparence.