De la même manière que mon amendement précédent, celui-ci entend mettre l'accent sur la capacité de la France à maîtriser les fonds marins. Nous devons veiller particulièrement à disposer d'une BITD qui réponde aux intérêts essentiels de sécurité de l'État dans ce domaine, en prenant en considération les enjeux de souveraineté.
Dans le contexte actuel, il convient évidemment de regarder cela de près : l'industrie française ne couvre qu'une partie des briques technologiques indispensables au développement d'un robot sous-marin de nouvelle génération. Aussi faut-il favoriser l'émergence d'une filière souveraine dans le domaine des drones et robots sous-marins opérant jusqu'à 6 000 mètres de profondeur.