Il concerne là encore notre souveraineté. En effet, il tend à ajouter la notion de souveraineté à la cinquante-deuxième ligne du tableau situé à l'alinéa 37 du rapport annexé.
Le programme Eurodrone soulève de nombreuses questions. Premièrement, il est dirigé par un organisme allemand. Deuxièmement, il a subi un retard considérable – plus de quatre ans, je crois.
Troisièmement, la motorisation est italo- – jusque-là ça va bien – américaine – là ça commence à être plus gênant. Cela pose les problèmes que l'on connaît, notamment en ce qui concerne l'International Traffic in Arms Regulations (Itar) et le droit à l'exportation. L'amendement vise à garantir que les solutions d'avenir pour les drones, notamment celles que nous finançons et que nous produisons, sont réellement souveraines.