Le député Di Filippo a raison de venir à mon secours et d'appuyer ce que je dis depuis hier soir. Nous n'en sommes qu'à la moitié de la page 62 du rapport annexé, dont les articles pourraient être qualifiés de principiels. Certes, ils sont intéressants politiquement et traduisent la volonté de la représentation nationale et du Gouvernement. Cependant, le texte issu des travaux de la commission puis de la séance devient lourd et verbeux – sans que ce terme ne doive être compris dans son acception péjorative. Il se trouve que, pas plus que le service de la séance, je ne choisis l'endroit où il est proposé d'amender le texte – contrairement à ce qui a été indiqué tout à l'heure. Il me semble que vos collègues du groupe Les Républicains, monsieur Di Filippo, ont émis tout à l'heure le souhait que soient mentionnées les associations patriotiques, qui ne figuraient pas dans le texte. Je réitère mon avis favorable à l'amendement et propose, le cas échéant, que les sénateurs revoient la rédaction du texte. Je m'efforce ainsi de faire la synthèse des bonnes volontés exprimées dans les différents groupes.