En complément des propos de mon collègue Lachaud, je voudrais citer un poète célèbre : « À quoi sert une banquise trop fragile pour les pas d'un ours ? » La France doit être une puissance motrice dans la préservation des pôles afin d'en faire un bien commun de l'humanité. En proposant d'inscrire cette intention dans le rapport annexé, cet amendement nous donne l'occasion d'intégrer cette question dans nos débats.