Il convient effectivement d'avancer au sujet de la relocalisation des données, mais notre action doit avoir lieu dans le cadre européen. C'est pourquoi je donne un avis défavorable à ces amendements.
S'agissant de nos armées, je tiens tout de même à souligner que la LPM prévoit 8 milliards d'euros de crédits pour conforter la résilience de nos systèmes numériques et 4 milliards pour le cyber, ce qui montre combien nous tenons compte de cet enjeu.