Mais, monsieur le ministre, soyons précis : vous avez parlé du standard F5 du Rafale et d'un drone de combat s'appuyant sur le Neuron. Très bien ! En réalité, vous venez de faire la démonstration que l'industrie française – Dassault en l'espèce – est capable de fournir, seule, un avion de combat, un drone qui combat à ses côtés et donc un système de combat aérien du futur. La France a donc la capacité, de manière souveraine, de penser l'après-Rafale. Nous en prenons bonne note pour la suite du débat.