Il vise à inscrire à l'alinéa 2 du rapport annexé que la BITD bénéficiera du soutien de l'État, en étant prioritaire pour répondre aux commandes publiques de l'armée et en étant protégée des raids que mènent certains actionnaires étrangers qui ont décidé depuis quelque temps de faire main basse dessus : ces dernières années, 131 entreprises sensibles sont passées dans des mains étrangères, à l'exemple de Segault et d'Exxelia.