Nous allons donc mener ce débat ici, mais je souhaite qu'il sorte de ces murs car il engage beaucoup d'argent.
La question tourne autour de la nuance entre la nécessité de moderniser notre arsenal nucléaire – nous partageons ce choix car notre crédibilité en dépend – et l'augmentation de notre capacité, non en termes de quantité d'ogives, mais en termes de diversité des moyens de dissuasion, missiles sol-air ou sous-marins par exemple. L'augmentation risque en effet de se faire au détriment de la modernisation, car elle demande beaucoup d'argent.