Je vais m'efforcer d'être précis au sujet des 2 %, tout en étant plus bref qu'en commission. Je crois utile en effet d'éclairer de nouveau l'ensemble des sensibilités politiques de l'Assemblée nationale à ce sujet. Je pourrai ainsi réexpliquer pourquoi la commission a modifié le texte à la suite de l'adoption d'un amendement du Gouvernement – ce qui suscite un débat. Le président de la commission des affaires étrangères est lui-même soucieux des signaux qui sont envoyés par notre pays de par le monde.