Cette réponse a quelques années de retard, car l'urgence n'est plus la même que lorsqu'on a commencé à réfléchir à des plans en la matière. Cette urgence n'a toutefois rien de nouveau ; on ne peut pas se demander qui aurait pu la prédire, car elle a été exposée par les hydrologues depuis une dizaine d'années. Or les données scientifiques dont nous disposons aujourd'hui montrent qu'il faut agir en urgence, et bien plus fort que jusqu'à présent. C'est ce que nous disent tant les pompiers que l'Office national des forêts (ONF), les bûcherons, les habitants et les scientifiques.
Je comprends votre réponse et son contexte mais, malgré votre avis défavorable, je me permets d'insister, car notre assemblée n'a pas encore pris conscience de l'urgence hydrique à laquelle nous sommes confrontés.